Comme le résume Didier Leschi, auteur d’une étude sur le sujet pour l’OID et la Fondapol: « Nous accueillons des personnes qui n’étaient pas nécessairement hostiles aux talibans, mais qui ont fui des difficultés économiques.»
Comme le résume Didier Leschi, auteur d’une étude sur le sujet pour l’OID et la Fondapol: « Nous accueillons des personnes qui n’étaient pas nécessairement hostiles aux talibans, mais qui ont fui des difficultés économiques.»