ComprenetteVoilà un moment que Gabriel Attal ne déchiffre plus le langage présidentiel. « Je ne comprends pas Macron », déplorait l’éphémère Premier ministre au lendemain de la dissolution de 2024. « Je ne le comprends toujours pas », répète le même aujourd’hui, en petit comité. « La nomination de Sébastien (Lecornu)…