Cela est arrivé à Lyon, notamment à un couple de jeunes identitaires révoltés par la mort de Thomas à Crépol. On peut penser que l’appareil d’État sera impitoyable avec lui, et que cet homme sera bien plus lourdement condamné que nombre de racailles qui ont assassiné un des nôtres et bénéficient trop souvent d’une scandaleuse mansuétude de la part des juges. Certains emprisonnés mourront en détention, quand d’autres ne vivent pas un enfer dans les geôles anglaises, au milieu des musulmans, majoritaires dans les prisons. Ce qui est en train de se passer dans l’Espagne socialiste de Pedro Sanchez – l’homme qui a fait déterrer le cadavre de Franco – paraît suivre le même chemin. Bien sûr, s’ajoute à cela, comme en France et en Grande-Bretagne, la traque contre les militants classés à l’extrême droite, et vous avez les premiers résultats.


Source:   Le Figaro
July 19, 2025 11:03 UTC