À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro Politique avec Yves ThréardPour la première fois depuis ce «jugement historique», Nicolas Sarkozy s’est confié ce samedi 27 septembre au JDD. À lire aussi L’éditorial de Vincent Trémolet de Villers : «Sur les ruines de la démocratie»Publicité«Aucun élément ne justifiait l’exécution provisoire»Concernant l’exécution provisoire, Nicolas Sarkozy partage sa sidération à nos confrères : «toutes les limites de l’État de droit ont été violées». Nicolas Sarkozy s’en étonne : «les faits datent d’il y a 20 ans, j’ai été relaxé de 3 des 4 infractions qu’on me reprochait. «Or s’il y a un faux, c’est qu’il y a eu des faussaires, des manipulateurs et donc un complot», souligne l’ex-président. PublicitéInterrogé sur une possible grâce présidentielle, Nicolas Sarkozy est catégorique.