L’annonce du président américain sur une trêve de 90 jours permet aux marchés de remonter la pente, après plusieurs jours de débâcle. Le ton reste cependant le même face à la Chine, exception à la trêve sur les droits de douane. Vers 16H45 GMT, le Dow Jones reculait de 4,19%, l’indice Nasdaq perdait 5,92%% et l’indice élargi S&P 500 lâchait 5,11%. Plus une obligation est recherchée par les investisseurs, plus son taux d'intérêt va baisser. Vers 07H30 GMT, l'once d'or gagnait 0,97% à 3.112,69 dollars, tutoyant son record à plus de 3.167 dollars l'once.

Le futur chancelier allemand assure que «l’Europe peut compter sur l’Allemagne» et son futur gouvernement face aux bouleversements économiques et géopolitiques en cours. Friedrich Merz a affirmé vouloir que «le nouveau gouvernement puisse commencer son travail début mai». Face aux tensions mondiales, «l’Europe peut compter sur l’Allemagne»Le futur chancelier a également déclaré que «l’Europe peut compter sur l’Allemagne» et son futur gouvernement face aux bouleversements économiques et géopolitiques en cours. L’Europe peut également compter sur l’Allemagne», a dit le dirigeant conservateur. Le futur chancelier parle également d’un durcissement de la politique migratoire allemande.

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DÉCRYPTAGE - Alors que les droits de douane « réciproques » étaient entrés en vigueur à minuit à Washington, soit 6 heures du matin à Paris, Donald Trump a annoncé leur suspension pour 90 joursCoup de théâtre mercredi soir ! Alors que les droits de douane « réciproques » étaient entrés en vigueur à minuit à Washington, soit 6 heures du matin à Paris, Donald Trump a annoncé leur suspension pour 90 jours, laissant tout de même un taux minimum uniforme de 10 %. À lire aussi Donald Trump suspend l’augmentation des droits de douane pour 90 jours, sauf pour la ChineSituation incertaineLa situation du commerce mondial est d’autant plus incertaine et confuse que les surtaxes imposées à la Chine visent les biens « from China », « en provenance de Chine ». L’UE va répliquer aux taxes sur l’acier par des droits de douane de 25 % sur des produits comme les motos, le maquillage ou le soja. Dans ce grand chambardement, Donald Trump s’est à nouveau moqué des nombreux dirigeants étrangers qui lui « lèchent le cul » pour négocier des accords commerciaux « sur mesure ».

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REPORTAGE - Avant leur soudaine suspension pour 90 jours, l’annonce de nouveaux droits de douane par Donald Trump a été le dernier chapitre d’un début de mandat qui a plongé le parlement américain dans une période de troubles sans précédent. Dans les entrailles souterraines du Capitole, le petit train qui relie l’aile du Sénat américain aux buildings annexes Russell, Dirksen et Hart arrive à son terminus. Surgit Ted Cruz, élu du Texas, qui s’est autoproclamé « l’un des plus grands soutiens de Donald Trump ». Et d’ajouter que, sur le plan de la politique nationale, les conséquences pour le consommateur pourraient entraîner « un bain de sang » lors des midterms de l’année prochaine. Bienvenue dans la maison des fous », s’amuse le journaliste d’une grande agence de presse en nous voyant revenir aux portes du métro, l’une des « planques » favorites…

Le Figaro, qui va procéder à un « change­ment d’horloge interne » afin de priv­ilégi­er son édi­tion Web, l’illustre très bien. L’objectif est de mieux met­tre en valeur le site tout en flu­id­i­fi­ant la mise au point de l’édition papi­er encore tirée à 350 000 exem­plaires. L’objectif est aus­si d’éviter les embouteil­lages de relec­ture qui ont lieu la veille de la pub­li­ca­tion de l’édition papier. En 2024, l’édition papi­er a rap­porté 77 mil­lions tan­dis que le Web a rap­porté 76 mil­lions. Le jour­nal doit donc aus­si opér­er ce bas­cule­ment pour des raisons économiques.

76%, de plus, lisent chaque mois au moins une marque de presse sur mobile. Les lectures de la Presse sur les supports digitaux représentent au global 69% des lectures de marques de presse. L’ACPM relève au passage que 28% des personnes interrogées sont des lecteurs exclusifs print alors que 51% sont des exclusifs mobiles et 6% des exclusifs ordinateurs et 4% exclusifs tablettes. Un podium composé de PQR66, Le Figaro et la PHRStable en un an (+0,1%), l’agrégat PQR 66 demeure, comme sur la S1 2024, à la première place des marques de presse avec 42,4 millions de lecteurs Brand 30 jours. Il devance Le Figaro (+3,8%) avec 24,79 millions de lecteurs, qui gagne une place au détriment de la PHR (+0,1%, 24,73 M) par rapport à la même période 2024.

Plusieurs responsables du ministère américain de la Défense plancheraient sur le retrait de 10.000 militaires américains actuellement stationnés en Europe de l’Est, selon NBC News. Des hauts responsables du ministère de la Défense des États-Unis travaillent sur une proposition visant à retirer jusqu’à 10.000 soldats américains d’Europe de l’Est, a affirmé le média américain NBC News le 8 avril. Les orientations présentées de Pete Hegseth stipulaient ainsi que l’Otan devrait à l’avenir assumer une part « beaucoup plus importante » du fardeau. Les États-Unis devront eux se concentrer sur d’autres priorités, notamment une potentielle guerre contre Pékin autour de Taïwan. La présence des soldats américains dans les anciens pays communistes pendant la Guerre froide est un point de crispation majeur et historique pour Moscou, qui affirme se sentir menacé par ces déploiements.

Réservé aux abonnésCARTES - Elle a lieu dans les régions de Soumy et de Kharkiv, a expliqué dans une interview le commandant de l’armée ukrainienne qui estime que le nombre d’assauts russes a doublé en une semaine. Dès la mi-mars, alors que les gains territoriaux russes sur le sol ukrainien diminuaient depuis leur pic de novembre 2024, Volodymyr Zelensky mettait en garde contre la relance d’une offensive de printemps par les forces russes. Le 26 mars, dans Le Figaro, le président ukrainien expliquait «voir les préparatifs de cette opération future», «notamment à Soumy et dans la région de Kharkiv». «Je peux dire que le président a absolument raison et que cette offensive a déjà commencé», a annoncé ce mercredi 9 avril le commandant de l’armée ukrainienne, le général Olaksandr Syrsky, dans une interview fleuve accordée au média ukrainien Leftbank. «Depuis plusieurs jours, presque une semaine, nous observons un quasi-doublement du nombre d’actions offensives…

Réservé aux abonnésINFO LE FIGARO - Le texte défendu par Rachida Dati, qui devait être débattu vendredi dans l’Hémicycle de l’Assemblée nationale, a connu un début d’examen difficile. C’est un nouveau coup dur pour la réforme de l’audiovisuel public. Selon nos informations, le texte, qui devait être débattu ce vendredi en séance publique dans l’Hémicycle de l’Assemblée nationale, vient d’être officiellement retiré de l’ordre du jour par le gouvernement. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro Politique avec Yves ThréardEt le débat n’aura donc pour l’instant pas lieu en séance publique. «Au vu de l’embouteillage parlementaire des dernières semaines, il va probablement être très compliqué de lui trouver une nouvelle place...», anticipe un député Renaissance.

Özgür Özel espère «forcer» le président turc, confronté à des manifestations récurrentes, à convoquer des élections anticipées. Le combat de l'opposition turque «se poursuivra jusqu'au bout», a affirmé mercredi à l'AFP le chef de son principal mouvement, disant vouloir «forcer» le président Recep Tayyip Erdogan, confronté à une contestation déclenchée par l'arrestation du maire d'Istanbul, à convoquer des élections anticipées. «Erdogan (...) a perpétré un coup d'État contre le prochain président de la Turquie, notre candidat à la présidentielle. C'est pourquoi notre résistance et notre lutte se poursuivront jusqu'au bout», a déclaré Özgür Özel, le chef du Parti républicain du peuple (CHP) dont est membre Ekrem Imamoglu, le maire d'Istanbul arrêté le mois dernier. Selon lui, même emprisonné Ekrem Imamoglu «a la force de battre Erdogan au premier tour et avec une très large marge».

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«Je ne le ferai pas (...) pour faire plaisir à un tel ou un tel mais parce que ce sera juste», a expliqué le président de la République sur France 5 ce mercredi soir. Emmanuel Macron a annoncé mercredi que la France pourrait reconnaître un État palestinien «en juin» à l’occasion d’une conférence qu’elle coprésidera avec l’Arabie saoudite à New York et qui doit aussi conduire à la reconnaissance d’Israël par un certain nombre de pays, a-t-il souligné. «Ce sera juste»«Notre objectif c’est, quelque part en juin, avec l’Arabie saoudite de présider cette conférence (sur la solution à deux Etats, ndlr) où on pourrait finaliser le mouvement de reconnaissance réciproque par plusieurs», a-t-il ajouté. Une ministre palestinienne a salué l’annonce d’Emmanuel Macron, y voyant «un pas dans la bonne direction». La reconnaissance par la France de l’Etat palestinien «serait un pas dans la bonne direction, conforme à la défense des droits du peuple palestinien et à la solution à deux Etats», a déclaré à l’AFP Varsen Aghabekian Shahin, ministre d’Etat aux Affaires étrangères.