Le dimanche, les tribunes de l’hippodrome vibraient au rythme des courses, un loisir aujourd’hui oublié. Face à ce constat, une nouvelle génération de passionnés rêve de redonner à ce spectacle son aura d’antan. Autrefois rendez-vous dominical prisé, l’hippodrome est tombé en désuétudeIl y a cent ans, les courses hippiques vivaient leur âge d’or. France Galop, l’association organisatrice des courses de galop, emploie près de 400 salariés dont 150 au siège parisien. Désormais, l’hippodrome pourrait redevenir ce rendez-vous dominical cher au cœur des Français si la dynamique se poursuit.

October 09, 2025 05:03 UTC

Appelé pour la première fois en sélection algérienne, le fils de Zinédine Zidane a expliqué les raisons de son choix de nationalité sportive. L'Algérie «est mon pays, mon pays d'origine et (celui) de mes grands-parents», a-t-il ajouté, en réponse à une question sur les raisons qui l'ont poussé à opter pour l'équipe d'Algérie. Étant donné qu'il n'avait jamais rejoint l'équipe de France A, il était resté éligible pour jouer avec l'Algérie, le pays de ses grands-parents paternels. «Toute ma famille (est) fière de moi et (est) derrière moi dans tous mes choix (...) mon grand-père est content que je sois en Algérie et que j'ai fait ce choix.», a-t-il précisé. «J’ai mon chemin, ma carrière»Son père Zinédine Zidane «a eu son chemin, sa carrière.

October 08, 2025 23:08 UTC

Réservé aux abonnésINFO LE FIGARO - En avançant cette idée mardi soir, Élisabeth Borne a provoqué de virulents débats dans la boucle de messagerie du groupe Renaissance. Signe des tiraillements idéologiques du macronisme et de la guerre des postures en cours. «Je pense qu’on ne doit pas faire de cette réforme des retraites un totem.» Cette phrase d’Élisabeth Borne, qui a ouvert la porte mardi soir dans un entretien au Parisien à une suspension de sa propre réforme des retraites, a aussitôt provoqué des débats endiablés entre les députés Renaissance sur leur boucle de messagerie Telegram, selon des échanges que Le Figaro a pu consulter. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro Politique avec Yves Thréard«Est-ce à nous de dilapider notre propre héritage ?», s’interroge ainsi, peu après 20 heures mardi, la députée Maud Bregeon, figure de l’aile droite, tandis que Charles Rodwell se dit «sidéré». «Notre propre héritage, il n’en restera rien si nous loupons cette dernière chance…

October 08, 2025 14:10 UTC

À l’image du chef des Républicains (LR), Bruno Retailleau, et d’une partie du camp Macron, le président d’Horizons s’oppose à toute suspension de la réforme des retraites. Donc une suspension de la réforme des retraites, c’est non. Publicité«Sauver» le système de retraitesDepuis plusieurs mois, Édouard Philippe affirme vouloir «sauver» le système de retraites. «Modifier la réforme des retraites», a-t-il déclaré sur France Inter, coûtera «des centaines de millions en 2026 et des milliards en 2027». Édouard Philippe se montre toutefois ouvert, selon son entourage, à des «mesures» en faveur des «femmes actives» et de la «prise en compte de la pénibilité».

October 08, 2025 12:46 UTC

En rachetant la totalité de la société Sport24.com, le groupe Le Figaro réalise une première opération de croissance externe dans le domaine des nouveaux médias. Cette acquisition « démontre notre volonté de conforter notre position sur l’éditorial Internet et de séduire une audience jeune telle que celle acquise par Sport24 », explique Francis Morel, le directeur général du Figaro. Le quotidien de sport en ligne était jusqu’alors (depuis 2002) le partenaire éditorial des pages sports du figaro.fr. Ce rachat annonce également d’autres initiatives à venir sur le Web et notamment le lancement prochain d’une nouvelle version du site figaro.fr avec l’ambition d’en faire « le premier site francophone d’informations », selon Frédéric Sitterlé, directeur des nouveaux médias du Figaro. Le groupe prévoit également des synergies fortes entre les supports print et web ainsi que des projets de développement sur la thématique sportive.

October 08, 2025 12:31 UTC





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October 08, 2025 12:06 UTC

Dans une tribune au quotidien Le Figaro, le philosophe Pascal Bruckner fustige l'antisémitisme en France :«Le 7 octobre 2023, un tabou est tombé. Ce fut le coming out judéophobe le plus massif depuis 1945, surtout à gauche et à l'extrême gauche. Au lieu d'être épouvantés par les atrocités commises, on les a justifiées, voire applaudies au nom de la résistance au colonialisme. Enfin on pouvait, pour la première fois depuis 1945, liquider des juifs en masse à l'abri du discours anti-impérialiste. Ce jour-là un permis de tuer a été délivré : il est désormais moral et même recommandé d'être antisémite.»

October 08, 2025 10:45 UTC

Récemment, j’ai fait une interview promo dans un talk-show de la TNT, et je ne dirais pas que j’ai été mauvais, mais disons que si, quand même. Avec cette peau que j’ai, on dirait tellement que j’ai 9 ans que je pensais que là j’allais à Piwi +. Seulement, des vannes sur Sarkozy, ça ne se fait plus depuis douze ans. »Et c’est là que j’ai compris que l’équipe me voyait comme un humoriste politique, alors que je ne parle quasi plus de politique. Je ne parle plus trop de politique, mais hier, j’ai fait une chronique sur cette crise qu’on vit, et j’ai eu pas mal de retours :Daniel a dit « mmouais » et Oldelaf a dit « c’était pas ouf ».

October 08, 2025 10:38 UTC

« La démission du président n’est pas une décision souhaitable. D’une part, elle constituerait un dangereux précédent : elle exposerait ses successeurs – qui ne manqueront pas d’être soumis à de grandes difficultés – à subir, à leur tour, une pression de la rue, de l’opinion, des médias et du Parlement visant à obtenir leur démission. Nous aurions alors donné le jour à une sorte de « mandat impératif de fait ». Ses conséquences sur le système politique seraient incalculables, mettant fin à sa stabilité et le privant presque aussitôt des qualités que les constituants avaient voulues à l’origine. La démission du président de la République sous la pression politique serait un saut dans l’inconnu.

October 08, 2025 10:05 UTC

Réservé aux abonnésINFO LE FIGARO - Une partie du camp présidentiel ouvre la porte à une suspension de la réforme principale du quinquennat d’Emmanuel Macron. Alors que le camp présidentiel semble ouvrir la porte à une suspension de la réforme des retraites, sur fond d’ultimes négociations entre Sébastien Lecornu et le secrétaire général du Parti socialiste, Olivier Faure, l’entourage de Bruno Retailleau prévient : «La droite est absolument opposée à la suspension de la réforme des retraites. Il n’a jamais été question de céder sur ce point.»À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro Politique avec Yves ThréardCet avertissement naît quelques instants après la déclaration de l’ex-premier ministre qui rencontre les forces de gauche, affirmant ce mercredi matin qu’il y a une «volonté partagée d’avoir un budget» éloignant les «perspectives d’une dissolution». Même si Sébastien Lecornu n’a pas évoqué la suspension de la réforme principale du quinquennat d’Emmanuel Macron, l’ancienne première ministre Élisabeth Borne a jugé dans Le Parisien, la veille, que son camp devait «avancer» et «savoir écouter et bouger» sur le sujet. Une manière de s’attirer la bienveillance (c’est-à-dire, au moins le principe d’un accord…

October 08, 2025 09:47 UTC

La présidente de l’Assemblée nationale appelle à la stabilité institutionnelle et critique les concessions isolées, avec un accord global sur le budget. Emmanuel Macron n'a pas évoqué la dissolution lors de son entretien mardi avec la présidente de l'Assemblée nationale, dont la consultation préalable est obligatoire avant une telle décision, a indiqué cette dernière mercredi sur RTL. «Non, nous n’avons pas évoqué la dissolution avec le président de la République hier. Elle ne résoudrait pas grand-chose», a-t-elle déclaré. Publicité«Un deal global»La présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet a exprimé mercredi sa «gêne» de voir Sébastien Lecornu prêt à suspendre la réforme des retraites pour convaincre les socialistes de trouver un compromis sur le budget, lui préférant «un deal global».

October 08, 2025 09:44 UTC

À l’école, certains rêvent de renommer les vacances de la Toussaint ou de Noël. Comme l’écrivait Maurice Druon, certains sont avides de « couper les nouvelles générations des acquis ancestraux » afin de « fabriquer un homme nouveau pour un monde nouveau. Tant mieux. La gauche veut-elle aujourd’hui effacer le christianisme pour mieux laisser la place à l’islam, ou encourage-t-elle l’islam parce qu’elle voit en lui un allié contre le christianisme ? Veut-elle effacer le christianisme pour mieux se débarrasser de l’identité française, ou veut-elle effacer l’identité française parce que le christianisme en fait partie et qu’elle le hait ?

October 08, 2025 09:41 UTC

Le premier ministre démissionnaire a fait taire la polémique concernant les indemnités des membres de son gouvernement, restés seulement quelques heures à leur poste. C’est un avantage qui a fait couler beaucoup d’encre ces derniers jours, après l’annonce de la démission de Sébastien Lecornu lundi 6 octobre, moins de 24 heures après la nomination de son gouvernement : celui de l’indemnité de départ des ministres lorsqu’ils quittent leurs fonctions, même après quelques heures en poste. Les ministres de son gouvernement n’étant restés que quelques heures à leurs fonctions «n’auront pas droit à ces indemnités», le premier ministre démissionnaire ayant décidé de «les suspendre». PublicitéCertains ministres avaient déjà pris les devants, comme Bruno Le Maire, qui a annoncé mardi au média en ligne Brut renoncer à ses avantages. Sachant que l’indemnité brute des ministres s’élève à plus de 10.000 euros par mois, et celle du premier ministre à plus de 16.000 euros mensuels.

October 08, 2025 09:37 UTC

Réservé aux abonnésINFO LE FIGARO - Réunis ce matin, les députés membres du bureau de l’Assemblée nationale ont jugé irrecevable la motion de destitution d’Emmanuel Macron déposée par les Insoumis. Celle-ci ne sera donc pas débattue, ni en commission, ni en Hémicycle. Selon nos informations, le bureau de l’Assemblée nationale vient de déclarer irrecevable la motion de destitution du président de la République, Emmanuel Macron, proposée par les Insoumis et signée part 104 parlementaires de gauche, dont certains écologistes. Les députés membres de cette instance se sont divisés entre votes favorables, abstentions et votes défavorables. Résultat final : 5 votes pour, 10 votes contre et 5 abstentions.

October 08, 2025 09:18 UTC

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October 08, 2025 08:31 UTC