Son bureau anonyme et blanc n’est déjà plus tout à fait le sien. « Nous avons eu de la chance pendant dix ans mais c’était trop beau pour être vrai », résume-t-il en plongeant dans ses souvenirs. L’essentiel des revenus générés profite aux acteurs locaux, et Evaneos ne prend qu’un pourcentage minime sur la transaction. « C’était un truc de fou : on avait toujours plus de voyageurs, de salariés, de projets et de valeurs humaines », raconte Aurélie Croiziers. La DRH réfléchit par ailleurs à un salon de l’emploi où des salariés et des entreprises seraient mis en contact.
Source: La Croix December 13, 2020 09:56 UTC