À ce moment de sa vie, Gwendal avait quelques comptes à régler avec l’Église. Le jeune Parisien de dix-sept ans, apprenti boulanger, ne comprenait pas pourquoi les prêtres de sa paroisse ne parlaient jamais de la crise écologique, pourquoi la sexualité était taboue, ou encore pourquoi Dieu laissait faire les guerres, des sujets qui se bousculaient pêle-mêle dans son esprit d’adolescent. Gwendal était tracassé, il avait décidé d’en parler à Dieu, de vider son sac, de tout lui déballer. Cet article est réservé aux abonnés Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Source: La Croix December 19, 2025 18:18 UTC