Le 3 avril, alors qu’il recevait les membres de la convention citoyenne sur la fin de vie, le président de la République a appelé de ses vœux une nouvelle loi sur ce sujet. Qu’Emmanuel Macron se rassure – et avec lui les opposants à une loi de liberté –, ces limites existent partout où de telles législations ont été votées. Renforcement des moyensAinsi, en octobre 2018, une proposition de loi a été soumise et votée par les adhérents de l’ADMD, au cours de sa 38e assemblée générale. Tout d’abord, cette proposition de loi pose le principe du respect des droits des patients et des personnes en fin de vie. Nulle part, il n’existe d’aide active à mourir pour des situations de chômage, de mal-logement ou d’isolement.

Source: L'Humanite June 22, 2023 03:51 UTC