Ancienne infirmière, Florence, 59 ans, fête Noël au sanctuaire normand Notre-Dame de Montligeon pour la troisième fois. Elle n’en pouvait plus des repas de famille entrecoupés de « mauvais propos » et de « bagarres » qui faisaient silencieusement pleurer son père. « Je suis touché par le nombre de personnes blessées par Noël. C’est pour elles que nous ouvrons nos portes », relève Don Paul Denizot, recteur du sanctuaire consacré à la prière pour les défunts, confié à la communauté Saint-Martin et aux sœurs de la Nouvelle Alliance. Cet article est réservé aux abonnés Vous souhaitez lire la suite ?
Source: La Croix December 25, 2025 15:37 UTC