« La liberté de l’Église nous engage à poursuivre notre travail de reconnaissance des abus sexuels commis par des prêtres et de la souffrance de leurs victimes. Comment l’Église peut reconnaître la souffrance des victimesL’épineuse question de la reconnaissance financièreUne bonne part des échanges doivent porter sur la reconnaissance financière des abus, sans qu’il soit toutefois certain que des décisions puissent être prises. Pourtant, reconnaît le président de la CEF, « l’argent est un élément nécessaire dans notre société pour reconnaître la souffrance des victimes. Une somme de 3 000 à 5 000 € serait à l’étude, déjà jugée comme « symbolique » ou même « dérisoire » par les victimes. « Il y a urgence à penser une nouvelle organisation de l’Église pour être des missionnaires plus authentiques.

Source: La Croix November 05, 2020 05:48 UTC