Comme souvent dans vos films, vous abordez dans «Je vais mieux» un thème dont le cinéma ne parle jamais: le mal de dos. Je n’ai en effet jamais vu de films qui en parle. Ce qui m’intéressait, c’était de montrer que le mal de dos est un révélateur de tous nos maux. Mais toutes ces références renvoient à des auteurs que j’adore, comme ceux que vous citez mais aussi Kafka. Justement, comment vous considérez-vous dans le cinéma français?
Source: Tribune de Genève May 29, 2018 16:18 UTC