Une partie des cas sont des doublons, d’autres aboutissent à des fausses pistes. S’il ne l’a pas fait et a préféré confier la helpline à la police cantonale, c’est au nom de l’efficacité, affirme Béatrice Métraux: «Nous collaborons avec le CIC et, d’ailleurs, nous le subventionnons. Le traitement prévu des informations a fait l’objet d’un examen par la préposée cantonale à la protection des données. L’affaire serait alors suivie par le Service de protection de la jeunesse, par exemple, qui irait à la rencontre de la famille, en collaboration avec les autorités scolaires. C’est durant cette instruction que le terroriste présumé a recouru contre une expertise psychiatrique ordonnée par le MPC.
Source: Tribune de Genève May 02, 2018 17:35 UTC