Aujourd'hui, l'hôpital est plein mais nous avons toujours une ou deux places libres pour nous occuper des urgences extrêmes. Quand nous refusons l'accueil d'une personne en réanimation, c'est sur des critères médicaux et pas par manque de place. Dès que leur état évolue en mieux ou en mal, qu'ils ont besoin de plus ou moins d'oxygène par exemple, les patients changent d'unité. Agir pour la recherche au lieu de subir l'épidémie et les querelles médicales est extrêmement important. Quelle est la situation épidémiologique au jour le jour ?
Source: Les Echos April 07, 2020 08:49 UTC