Aminata Niakate, avocate et présidente d’ECPM, explique que l’Iran « n’est pas transparent sur ces exécutions ». Selon elle, les exécutions « ne sont pas rendues publiques par les autorités locales. Les ONG s’inquiètent du nombre croissant de femmes condamnées pour avoir tué leurs maris qui pourraient avoir été violents. La peine de mort plus contestée dans le paysLes ONG soulignent « à quel point la population iranienne conteste les pratiques du régime » en place. Selon cette même enquête, 70 % d’entre eux s’ils étaient confrontés à la loi du talion refuseraient que l’auteur soit exécuté.
Source: La Croix April 29, 2022 00:15 UTC