Le travail de fourmi commence à payer. Pour récupérer les données et les échantillons conservés au laboratoire de Moscou, l'Agence mondiale antidopage (AMA) a dû ferrailler pendant des mois. Avec les autorités russes, qui refusaient de reconnaître leur implication directe dans le dopage, mais aussi en interne puisque de nombreuses voix (de la vice-présidente norvégienne, Linda Helleland, à plusieurs agences nationales antidopage, dont la française et l'américaine, notamment) se sont élevées contre la décision de réintégrer Rusada, l'agence antidopage russe.
Source: L'Equipe July 04, 2019 22:00 UTC