Cela dit, « c'est stressant », comme l'a confié au « Figaro » Franck Cammas. Surtout, voilà deux ans que Cammas prépare la Coupe, et, là aussi, il y a plusieurs tours, ou étapes, comme vous préférez. Pour Franck, la « Cup » est « l'aboutissement d'un rêve » ébauché à l'âge de dix ans sur son Optimist dans la magnifique rade de Marseille. Celui-ci s'est précisé quand en 1997, à vingt-quatre ans, il remporta sa première Solitaire du « Figaro ». Mais, il le reconnaît, l'affaire n'est pas dans le sac !
Source: Les Echos May 28, 2017 23:26 UTC