Quand on l’interroge sur cette question, Sylvaine Landrivon, docteure en théologie et coprésidente de l’association féministe catholique Magdala (ex-Comité de la jupe), n’hésite pas une seconde. À lire les Évangiles, la réponse « penche clairement d’un côté », constate-t-elle. « Si être féministe c’est revendiquer l’égalité intégrale entre les hommes et les femmes, reconnaissant à chacune et chacun la même dignité, la même capacité à s’assumer et à porter des responsabilités, bien sûr que Jésus peut être considéré comme féministe. »Cet article est réservé aux abonnés Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Source: La Croix December 22, 2025 15:45 UTC