Dans ce quatrième volume, Elena Ferrante met un terme à l’histoire passionnée et passionnante de deux femmes à travers l’Italie de 1944 à nos jours. Lila, d’une intelligence brillante, n’avait pu poursuivre ses études comme Elena, qui, elle, avait quitté la ville et, devenue écrivain, est la narratrice du roman. Un récit ancré dans les mutations de l’ItalieIl est aussi ancré dans les mutations de la péninsule de ces années-là. C’est l’autre Elena – Ferrante – qui, mine de rien, soulève les grandes interrogations de l’écriture et de la fiction, liées aux secrets des figures dessinées au fil des pages. CRITIQUE DE LIVRE : « Celle qui fuit et celle qui reste », l’Italie d’Elena Ferrante

Source: La Croix January 11, 2018 12:56 UTC