Il a eu raison de suivre Takuya et Kengo, ses deux aînés épris de gymnastique. Le petit Daiki Hashimoto avait alors six ans. Il n'imaginait pas qu'en 2021, il serait sacré champion olympique à Tokyo, qu'il hériterait du sceptre de son idole, Kohei Uchimura, vainqueur en 2012 et 2016. Qu'il prolongerait la belle tradition de la gymnastique japonaise, ajouterait son nom à une liste prestigieuse comprenant Yukio Endo (1964), Sawao Kato (1968 et 1972), Koji Gushiken (1984) et, bien entendu, Uchimura, passé à la trappe en qualifications de la barre fixe samedi dernier.
Source: L'Equipe July 28, 2021 13:52 UTC