Plus de deux décennies ans après l’Accord du Vendredi-Saint, du 10 avril 1998, mettant fin à trente ans de conflit, des groupes paramilitaires hantent toujours certains quartiers ouvriers. « Crainte des représailles »Ces groupes paramilitaires maintiennent un climat de peur au sein de leur propre communauté. « Les groupes paramilitaires offrent une image glamour et certains y voient l’opportunité de gagner de l’argent », explique Paul Smyth. Coincés entre les murs à l’effigie des paramilitaires, certains jeunes nés après les Accord du Vendredi-Saint ont tendance à percevoir leur enrôlement comme un gage d’aventure. Si certains recrutent activement, ces groupes paramilitaires sont-ils assez puissants pour relancer une guerre civile ?
Source: La Croix March 19, 2019 05:26 UTC