Les familles de l’arrondissement de Sion qui optaient pour un prénom unisexe pour leur nouveau-né se voyaient adresser une lettre de la part de l’état civil. «Ce prénom étant unisexe, nous vous demandons de considérer l’intérêt de l’enfant et de nous confirmer votre choix. Vous pouvez également rajouter un deuxième prénom qui détermine le sexe de votre enfant, si vous le désirez», détaillait alors l’état civil. «Nous convenons que cette pratique n’a plus lieu d’être», a reconnu Frédéric Favre. «Ce courrier, qui n’était adressé que dans l’arrondissement de Sion, avait pour seule vocation de sensibiliser les familles sur les éventuelles conséquences du choix d’un prénom unisexe», a ajouté le ministre des institutions.

Source: Le Nouvelliste December 17, 2021 10:26 UTC