Depuis la victoire de Benoît Hamon à la primaire socialiste , dimanche, la fronde a changé de camp. Et la pression s'accroît sur le porte-drapeau du PS à la présidentielle, à son tour confronté - comme dans un effet miroir du quinquennat - à la grogne d'une partie des troupes. « Veut-il être le candidat des socialistes ou être dans la concurrence à gauche de la gauche ? » a encore interrogé le secrétaire d'Etat au Développement, le vallsiste Jean-Marie Le Guen dans « Le Parisien ». Son entourage insiste sur la nécessité « de ne pas changer d'orientation au lendemain de la primaire », en taclant les « quelques râleurs qui alimentent la chronique de leur ralliement ».
Source: Les Echos January 31, 2017 17:15 UTC