Poursuivi notamment pour "atteinte à la sûreté intérieure de l'Etat", il risque la peine capitale. Le procès a été ajourné au 31 octobre à la demande de la défense. L'audience s'est ouverte dans une ambiance houleuse, dans une salle trop petite pour accueillir la cinquantaine d'avocats, les dizaines de proches des accusés et le public. Il avait été arrêté pour avoir interrompu, dans une mosquée d'Al-Hoceïma, le prêche d'un imam hostile au mouvement de contestation. Ils sont poursuivis pour "atteinte à la sécurité intérieure de l’État", "tentatives de sabotage, de meurtre et de pillage" ou encore "conspiration contre la sécurité intérieure".
Source: La Croix October 24, 2017 12:00 UTC