Au Pakistan, des centaines de chatons, chiots et autres lapins sont devenus les victimes indirectes du nouveau coronavirus. La police affirme avoir proposé aux commerçants de relâcher les bêtes dans des endroits sûrs où ils pourraient les nourrir. - Cruauté -Les droits des animaux sont loin de constituer une priorité au Pakistan, où la loi la plus récente pour ce qui touche aux problèmes de cruauté à leur encontre remonte à 1890. Le propriétaire d'une animalerie nourrit un de ses pensionnaires devant son échoppe fermée; à Karachi (Pakistan) / AFPChaque année, les autorités de Karachi mènent de vastes campagnes d'empoisonnement de centaines de chiens errants. Des centaines d'animaux exotiques ont en outre été importés ou élevés sur place ces dernières années.
Source: La Croix April 07, 2020 11:03 UTC