Le campus Paris-Saclay semble avoir tout du cluster - ces pôles scientifiques et technologiques - capable de se hisser au rang des plus grands, de Cambridge à la Silicon Valley. Une petite communauté peine encore à faire son apparition dans le campus de 7.000 hectares : les start-up. Selon le président du pôle de compétitivité Systematic Paris-Region, limiter les ambitions de développement du campus à l'Hexagone serait une erreur. En plus des grands acteurs économiques et des laboratoires universitaires, l'Etat français a versé sa contribution. « Lors de mon échange à Singapour, j'ai rencontré beaucoup de jeunes qui rêvaient d'intégrer le campus et les grandes écoles », explique Timothée Le Quesne.
Source: Les Echos August 30, 2016 01:30 UTC