Précautions sanitaires, solidarité avec l’effort de confinement, volonté de maintenir un dialogue « ouvert » avec les autorités… Ils invoquent aujourd’hui des raisons multiples. Contacté par l’avocat de requérants catholiques, ce dernier a refusé de s’associer au procédé. « Pour moi, il ne s’agit pas tant que la justice tranche un droit, mais plutôt que le gouvernement et les cultes parviennent finalement à trouver un modus vivendi », estime-t-il. Mais nous laisser prier ensemble, c’est nous permettre d’aller vers l’espérance et de ne pas s’enfermer des objectifs du monde. « Nous aurons la possibilité de prier à la maison, comme nous l’avions fait au printemps dernier : cela s’était bien passé », rappelle l’instance.
Source: La Croix November 03, 2020 18:00 UTC