Le simit court les rues de Turquie aussi sûrement que les chats. Mais le prix de ce petit pain rond en forme d’anneau, parsemé de sésame, est aussi un marqueur implacable de la vertigineuse hausse des prix. « Ca ne va pas... une famille qui ne prendrait que des simits et du thé ne s’en sortirait pas. Car le prix du simit, mentionné par les visiteurs de l’empire ottoman dès le 16ème siècle, est fixé par le gouvernement de la même façon que le salaire minimum. Pour le président de la principale centrale syndicale du pays Turk-Is, Ergun Atalay, le niveau du salaire minimum est « inacceptable ».
Source: La Croix December 28, 2025 16:19 UTC