Olena Dolkhatchova, une enseignante de mathématiques de 40 ans, a raconté à l'AFP devoir désormais travailler à la lumière des bougies. "Il y a des attaques chaque semaine. À peine le courant est-il rétabli que tous (...) nous nous retrouvons sans électricité, sans stabilité, assis dans le noir pendant deux ou trois jours", témoigne-t-elle.
Source: La Liberte December 23, 2025 18:14 UTC