Les dossiers des personnes incarcérées sur le continent sont étudiés «au cas par cas», précise Jacqueline Gourault, ministre en charge du dossier corse. Reste la question du commando qui a assassiné le préfet Érignac en 1998. «Oui, bien sûr c'est possible.» Évoquant le 9 janvier le rapprochement des détenus corses, Jacqueline Gourault, ministre auprès du ministre de l'Intérieur, a répété la position du gouvernement. «La Chancellerie, a-t-elle précisé, étudie au cas par cas la situation de ceux qui sont actuellement emprisonnés sur le continent, en fonction de leur durée de peine, de leur comportement.» Mi-décembre, le porte-parole du ministère de la Justice, Youssef Badr, avait dit la même chose au Figaro. Il précisait qu'il n'y avait «aucune opposition de principe mais aucun droit acquis» de la part ...
Source: Le Figaro January 11, 2018 18:29 UTC