Une nuit d’été, André Roupioz ne trouvant pas le sommeil se lève, s’assoit à la table de la cuisine et se met à écrire. L’éleveur, âgé de 63 ans, est un amateur de poésie en patois. Les vers lui viennent notamment lorsqu’il trait le matin à 6 heures. Mais cette nuit-là, c’est sa tristesse que cet homme pudique déverse sur le papier. Cet article est réservé aux abonnés Vous souhaitez lire la suite ?
Source: La Croix December 21, 2025 20:38 UTC