Quoi qu’il en soit, ce n’est pas un « droit à avorter » qui est constitutionnalisé, mais une « liberté de ». La révision sécurise le recours à l’IVG, mais n’introduit pas une créance à laquelle l’État devrait répondre. Certes, c’est la plus mauvaise des réponses, car elle porte atteinte à la vie en son commencement. Mais en matière de vie à protéger, il faut aussi parler de celle de la femme. Ne devrait-on pas plutôt s’interroger sur l’absence d’éducation à une forme de responsabilité sexuelle, y compris pour les hommes ?
Source: La Croix March 03, 2024 18:23 UTC